Je récidive avec un Joann Sfar à travers un de ses carnets, à savoir celui intitulé Si j’étais une femme, je m’épouserais. Une hypothèse assez originale issue d’une réflexion sur l’amour que l’auteur a mené après une déception amoureuse.
Si je garde de Greffier, un autre carnet de Joann Sfar, un excellent souvenir, j’avoue que celui-ci ne m’a pas autant convaincu. Chronique d’une lecture en demie-teinte.